Le souhait du ministre Bernard Drainville d'élargir l'interdiction du port de signes religieux à d'autres professions fait beaucoup réagir. Des intervenants en service de garde craignent notamment que cette mesure aggrave la pénurie de main-d'oeuvre que connaît ce milieu.
Écoutez à ce sujet Michel Picard, président de l’APPA, un syndicat qui représente 8000 employés de soutien du Centre de service scolaire de Montréal.
« Je pense que le principal enjeu qu'on a présentement, ce n'est pas les signes religieux, c'est les difficultés de recrutement, d'attraction et de rétention du personnel […] Ça m'interpelle pas mal plus que les signes religieux.»