Le Québec, qui détient toujours 25% des actions d'Airbus pour l'A220 (l'ancien CSeries de Bombardier) après avoir perdu 1,7 milliard de dollars dans l'aventure, peut-il espérer un jour rentabiliser sa participation?
Écoutez John Gradek, expert en aviation et chargé de cours à l'Université McGill, faire le point vendredi midi, à l'émission de Nathalie Normandeau et Luc Ferrandez.
«C'est un avion magnifique. C'est un appareil sur lequel on peut vraiment être fier [...] Le problème, c'est la rentabilité...»
Les principaux défis évoqués sont la rentabilité, la cadence de production et la dépendance à plus de 400 fournisseurs.