La SAQ a développé le concept de mini-agences, qui permettent de vendre du vin et des spiritueux dans les dépanneurs et les épiceries, pour faire face à la diminution de ses ventes.
Un service de livraison à domicile, envisagé par la SAQ, permettrait également de commander une ou des bouteilles via des entreprises de livraisons comme Doordash, Uber Eats ou Eva.
Pour certains groupes, ces projets pourraient menacer la santé publique.
Écoutez Laurence Ruel, chargée de projet en substances psychoactives à l’Association pour la santé publique du Québec, en discuter vendredi, au micro de Nathalie Normandeau et Luc Ferrandez.
« Ce qu'on craint, c'est que la SQ va donner un peu son pouvoir de vente d'alcool fort à des entreprises privées. Est-ce qu'il va y avoir le même contrôle? On parle de l'âge, mais aussi du conseil et de l'orientation des clients. »