Pascale Lavoie, mère de deux jeunes garçons, s'est récemment confié dans un statut Facebook sur la déception de son fils lorsqu'il a appris son refus au programme sport étude soccer à l'école secondaire De Mortagne.
Cette potion, qui permet à plusieurs jeunes pratiquants un sport de niveau compétitif, est-il maintenant uniquement réservée aux plus privilégiés de la société québécoise?
Écoutez Maude Goyer se pencher sur la question, vendredi, au micro de Philippe Cantin.
«Le sport, ça devient un levier de motivation, de persévérance. Je trouve ça vraiment dommage qu'il n'y ait pas plus d'arrimage entre le municipal, le ministère de l'Éducation et les centres de services scolaires pour permettre d'avoir, plus d'entraîneurs, de coachs, mais aussi plus de plateaux sportifs. C'est comme ça qu'il va y avoir plus de place, puis ça va être plus juste pour tout le monde.»