Écoutez Luc Ferrandez déplorer que Montréal ait privilégié d’autres dépenses à l'époque qu'il était en politique municipal, car l’itinérance ne relève pas de sa juridiction.
«J’étais très, très fâché, à une certaine époque, d’apprendre que la Ville avait voté un budget de 160 millions sur dix ans pour s’occuper des chats errants. Donc, 16 millions par année, ce qui représente 60 % de plus que pour l’itinérance. Quand je leur avais fait remarquer, ils m’avaient répondu : “Oui, mais l’itinérance, ce n’est pas notre travail, c’est celui de Québec. Les chats, c’est notre responsabilité, il faut le faire correctement.” Je n’aime pas ça, je n’aime pas ce calcul.»