Certains propriétaires de salons de tatouages ont observé une baisse de 25% de leur clientèle cette année. Pourquoi?
Écoutez Philippe Denis, chargé de cours à l'École supérieure de mode de l'UQAM, en discuter à Radio textos avec Marie-Eve Tremblay.
«Ça prend quand même un certain temps pour trouver celui qui va pouvoir dessiner sur votre corps. Et bien, ça demande cette masse économique, ce potentiel d'argent de disponible. Ne sachant pas si on s'en va en crise économique avec tout ce qui arrive, il y a des gens qui préfèrent justement retenir.»