Plus de 1600 ménages n'ont toujours pas trouvé de logement après le 1er juillet selon des données de la Société d'habitation du Québec.
Véronique Laflamme, porte-parole du Front d’action populaire en réaménagement urbain (FRAPRU), discute de la situation avec Élisabeth Crête.
«On ne peut pas vous dire exactement où sont tous ces gens-là. Et c'est pour ça qu'on se préoccupe autant de la situation au lendemain du 1ᵉʳ juillet. C'est pour éviter que des locataires qui sont victimes de la crise du logement se retrouvent à venir grossir les rangs de l'itinérance visible et invisible, comme ça a été le cas dans les années qui ont précédé.»