L'entrée en vigueur du code de conduite des épiciers est prévue pour le 1er janvier 2026, alors que «le rapport de force est renversé dans le domaine agroalimentaire», souligne l'expert en la matière, Sylvain Charlebois.
Certaines compagnies, par exemple, paient carrément pour voir leurs produits se retrouver sur les tablettes des grandes bannières.
Cette mesure suscite par ailleurs de grandes attentes au sein de l'industrie agroalimentaire, bien que les consommateurs se montrent plus prudents dans leurs anticipations.
Écoutez Sylvain Charlebois, directeur scientifique du Laboratoire de sciences analytiques en agroalimentaire de l’Université Dalhousie, détailler le tout à Lacroix le Matin.
«Il y a beaucoup, beaucoup d'entreprises qui ont dû fermer leurs portes en raison de conditions sévères émises par les bannières.»