Le ministre de la Sécurité publique, Ian Lafrenière, a dû se défendre sur plusieurs fronts, assurant que le système de bracelets antirapprochement n'est pas infaillible, mais demeure efficace à 96%.
Il a également réfuté les allégations selon lesquelles la réduction de la fréquence des suivis de certains criminels par les agents de probation était une mesure d'austérité budgétaire.
Il affirme que cet allègement visait à réduire la bureaucratie et répondait à une demande des agents eux-mêmes.
Écoutez Ian Lafrenière, ministre de la Sécurité publique, en discuter avec Patrick Lagacé mardi.
«Je vous le dis en toute transparence: est-ce qu'on est capable de faire mieux, d'être plus efficace? Est-ce que j'ai demandé à la SQ de revoir sa structure? Est-ce que j'ai demandé de couper un petit peu, d'alléger dans la structure? La réponse, c'est oui.»
Autre sujet abordé:
- Les compressions budgétaires à la Sûreté du Québec;
- Les cas de complaisance des juges envers les criminels.