Il n’y a pas que le réseau électrique d’Hydro-Québec qui est fragile lors d'intempéries majeures. Les antennes cellulaires le sont également. Privés d’électricité, il nous reste le cellulaire. Mais quand plusieurs antennes sont touchées comme ç’a été le cas cette semaine, que fait-on?
Écoutez Steve Waterhouse, expert en informatique et cybersécurité et ancien officier de sécurité informatique au ministère de la Défense nationale, à ce sujet avec Philippe Cantin.
La tempête de neige des derniers jours a causé des pannes majeures au réseau d’électricité et au réseau cellulaire au Québec.
«Dans les tours cellulaires, on s'attend qu'il y ait une redondance énergétique, c'est-à-dire, une génératrice. On a appris (mardi) qu'il y en avait des centaines dans la Montérégie, juste pour nommer ce coin-là, qui sont tombées en panne et qu'on n'avait plus rien. [...] C'est marqué dans la réglementation des fournisseurs de services internet, que c'est la responsabilité de l'abonné d'avoir un moyen alternatif, qui est un téléphone cellulaire. Et là, le téléphone cellulaire ne marche pas... On est dans le trouble».
Les autres sujets discutés
- D'un fournisseur à l'autre, le nombre de génératrices disponibles varie;
- Déposer des plaintes auprès du CRTC pour améliorer la continuité des services essentiels.