Le cessez-le-feu est mis à l'épreuve à Gaza, alors que le Hamas a procédé à des exécutions publiques de «traîtres» et que des drones israéliens effectuent des frappes sur des civils qui inspectaient leurs maisons...
Quels seront les effets à prévoir du retrait partiel de l'armée israélienne à Gaza?
Quelles sont les prochaines étapes pour implanter le plan de paix de Trump, signé avec le Qatar, l’Égypte, la Turquie et d’autres dirigeants, malgré l’absence de consensus sur une force internationale de stabilisation?
Écoutez Thomas Juneau, professeur agrégé à l'École supérieure d’affaires publiques et internationales de l’Université d’Ottawa, expliquer le tout, mardi, à La commission.
«Une des questions les plus pressantes qui se posent maintenant, c'est: qui s'occupe de la sécurité à Gaza au jour le jour, au coin de la rue? Et il y a juste une réponse pour ça: c'est le Hamas... le Hamas, encore entre 10 et 20 000 combattants. Alors, c'est eux qui vont assurer la sécurité et ils vont le faire, comme le Hamas le fait, c'est-à-dire de façon extraordinairement répressive et brutale.»