Du fleuve Saint-Laurent aux terres agricoles, les impacts économiques de la sécheresse historique que connaît le Québec se multiplient.
Les coûts pour l'agriculture augmentent considérablement, une pression financière qui sera inévitablement reportée sur le dos des consommateurs.
Écoutez à ce sujet la chroniqueuse économique Marie-Eve Fournier au micro de Patrick Lagacé.
«Une vache, si ça ne boit pas d'eau, ça ne produit pas de lait. Et une vache, ça prend à peu près 100 litres d'eau par jour. Donc, on ne va pas au dépanneur acheter de l'eau en bouteille pour une vache, il faut carrément acheter des citernes d'eau, ce qui coûte une fortune. (...) Il va falloir se préparer psychologiquement à payer le prix de la sécheresse.»
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