Un article du Devoir met en lumière la précarité des jeunes de la DPJ après leur sortie du système. Cette situation est d'autant plus préoccupante qu'environ 50 % des jeunes dans la rue sont issus de la DPJ.
Le chroniqueur Luc Ferrandez souligne que cette réalité «crève le cœur» et que ces cas, bien qu'extrêmes, révèlent la nécessité d'intervenir tôt dans la vie de ces jeunes, car ils coûteront une fortune en intervention s'ils ne sont pas pris en charge.
Écoutez le coup de gueule du chroniqueur Luc Ferrandez, vendredi, à l'émission Lagacé le matin animée par Catherine Brisson.