Le dossier sur la rage au volant révèle une forte augmentation des cas au Québec, dépassant 1200 incidents par an, avec un pic depuis 2015.
Qu'arrive-t-il aux victimes? Est-ce que les agresseurs sont suffisamment pénalisés?
Écoutez Serge Mailloux, victime de rage au volant, témoigner de son expérience.
Pour sa part, Me Vincent Montigny, avocat criminaliste, souligne que la rage au volant n’est pas encore un facteur aggravant dans le Code criminel, mais la magistrature commence à sévir, et recommande de poursuivre au civil pour une indemnisation substantielle.
Écoutez-le expliquer le tout à Luc Ferrandez, lundi, à La commission.
«Dans des cas de rage au volant, c'est souvent des individus sans histoire de part et d'autre, autant les autant les plaignants que les que les accusés, qui finalement, comme dans le cas présent, sautent une coche et font des choses qui sont impensables, qui n'auraient jamais fait dans un autre contexte.»