Les suppresseurs d'appétit comme l'Ozempic sont reconnus comme des avancées majeures en pharmacologie et démontrent une efficacité inouïe pour la perte de poids et la gestion du diabète.
Or, ces traitements viennent à des coûts élevés.
L'arrivée dès mars 2026 de produits génériques pourrait changer la donne.
Récemment, il a été question d'effets secondaires importants, mais rares, liés à ces produits. Est-ce que les risques surpassent les bénéfices, ou l'inverse?
Écoutez Dr Benoit Heppell, médecin de famille de Sherbrooke, expliquer le tout avec l'animateur Luc Ferrandez, vendredi, à La commission.
«Le poids perdu avec Ozempic, on ne le reprend pas tant qu'on prend la molécule. Il y a un petit désavantage: quand on l'arrête, on le reprend. Ça brise ce cycle-là de l'obésité, quand on prend le médicament. Donc, c'est pour ça que c'est une avancée majeure.»