Au moins un enfant sur deux au Québec affirme ressentir la faim dès son arrivée à l’école presque tous les jours.
À quelques jours de la rentrée scolaire, le Club des petits déjeuners est donc inondé de demandes.
Écoutez Judith Barry, co-fondatrice au Club des petits déjeuners, faire le point jeudi, au micro de Nathalie Normandeau et Luc Ferrandez.
«Il y a de quoi s'alarmer puisqu'un ventre creux ne peut pas apprendre de façon optimale, bien évidemment. Le coût des aliments augmente, les familles peinent à joindre les deux bouts. Il y a le contexte tarifaire qui, vraiment, n'aide pas la situation.»