L’Ordre des chimistes tire la sonnette d’alarme et réclame des tests plus fiables pour détecter des substances comme le GHB et un meilleur encadrement de leur vente.
L’organisme presse aussi les autorités d’agir pour protéger la population, surtout les femmes, qui sont particulièrement ciblées par des personnes malveillantes.
Écoutez Michel Alsayegh, président de l’Ordre des chimistes du Québec (OCQ), au micro de Jean-Sébastien Hammal.
«Ce n'est pas juste en mettant ces drogues dans des verres… On entend des histoires d'horreur de personnes mal intentionnées qui vont piquer lors d'assemblées ou dans une foule. Malheureusement, il n’existe pas de kits fiables qu'on peut avoir pour analyser ces drogues utilisées. Sur Internet, par exemple, les kits ne peuvent pas être fiables.»