Des entreprises québécoises, en colère face aux nouvelles normes concernant les travailleurs étrangers temporaires, poursuivent Ottawa pour 300 M$.
Le pourcentage de travailleurs étrangers temporaires permis au sein d'une entreprise, notamment, est passé de 30% à 10%.
Écoutez le président et chef de la direction de l'entreprise Manac, Charles Dutil, aborder le tout, lundi midi, à l'émission de Denis Lévesque.
«La disponibilité de main-d'œuvre n'est simplement pas là. Il n'y a pas personne dans la région de Montréal qui attend un emploi pour venir dans un domaine manufacturier en Beauce, sur un quart de travail de soir ou de fin de semaine. Quand un employeur se retourne vers l'étranger, c'est un dernier recours.»