Le Journal de Montréal s'est intéressé aux criminels les plus recherchés au pays et aux manières utilisées par ces fugitifs pour passer sous le radar pendant des années, dans un reportage publié samedi.
On constate que les fugitifs doivent compter sur de l’aide extérieure, de l’argent comptant et de fausses identités, et que ce n'est pas toujours facile pour les policiers de les retrouver.
Écoutez Claude A. Sarrazin, président de Sirco, entreprise spécialisée dans les services de sécurité à Montréal, en discuter avec Élisabeth Crête.
«Ça leur nécessite de l'argent comptant, ça leur nécessite un réseau de contacts. Il faut qu'ils puissent se trouver un endroit où ils vont être capables de se camoufler, se cacher pendant des périodes étendues. Il faut qu'ils cessent le contact avec les gens qui les entourent, sauf les gens qui sont à proximité d'eux, qui leur permettent de s'enfuir finalement.»