Arsenal Média est la première entreprise de radio au Québec à utiliser des voix de synthèse pour lire les bulletins de nouvelles en soirée dans ses stations régionales.
Cette initiative a généré une «tempête» dans le milieu de l'information, suscitant la critique de la FPJQ (Fédération professionnelle des journalistes du Québec).
Qu'est-ce qui justifie l'usage de l'intelligence artificielle pour cette tâche?
Qu'en pensez-vous?
Écoutez Sylvain Chamberland, président et chef de direction d'Arsenal Média et François Charron, chroniqueur à la vie numérique, en discuter mardi au micro de Marie-Eve Tremblay.
«C'est un investissement qui en vaut la peine, on va le tester en même temps et tout ça, et on va multiplier notre contenu dans l'ensemble de nos régions. Et c'est vraiment ça, c'est l'offre à nos auditeurs qui permet d'être multiplié. Alors que, si on ne fait pas cette initiative-là, il n'y en a pas de bulletins de nouvelles le soir et c'est tout.»