Dans sa chronique titrée «L’amour au temps de la polarisation», la journaliste Marie-Hélène Proulx met en lumière la fracture politique croissante entre les hommes et les femmes de la génération Z (15-30 ans), particulièrement visible au Québec et en Occident.
Les femmes, souvent plus à gauche, s’émancipent, valorisent l’indépendance et l’amitié féminine, tandis que les hommes, plus à droite, se sentent déstabilisés par les attentes post-#MeToo et la montée du féminisme, ce qui complique les relations amoureuses et accentue la rigidité idéologique.
Écoutez Marie-Hélène Proulx discuter du sujet, mercredi, à La commission avec Nathalie Normandeau et Luc Ferrandez.
«[Au Québec] Quand on va sur le terrain, qu'on interviewe des profs de cégep de secondaire, qu'on interroge des parents aussi, puis des garçons et des filles de cet âge-là, on voit qu'on voit que le clash est là. Ça, c'était mon expérience terrain en tout cas.»