Les dernières compressions budgétaires en éducation ont entraîné une hausse marquée du coût des activités parascolaires dans les écoles publiques du Québec.
Cette situation force de nombreux élèves issus de familles défavorisées, ou simplement nombreuses, à abandonner leur parcours sportif.
Écoutez Maxime Truman, chroniqueur, entrepreneur et entraîneur d’une équipe de futsal dans une école publique de Repentigny, dénoncer cette situation à La Commission.
« Les directions d’école ont un peu appris ça sur le fly, qu’elles devaient soumettre de nouveaux budgets. Puis, à un moment donné, au final, les écoles ont dû choisir entre une T.E.S., une orthopédagogue ou la gratuité du sport scolaire. Et finalement, bien, elles ont presque toutes fait le même choix : T.E.S. ou orthopédagogue. On s’entendra là-dessus. »