Alors que les compagnies militaires ont la cote dans le contexte géopolitique actuel, une consigne empêchait Investissement Québec d’investir dans ce type d’entreprise.
Or, depuis la visite de François Legault à un salon consacré à la défense en avril dernier, une directive a été envoyée pour que la Société d’État change son approche concernant ces investissements.
Seules les armes «non controversées» seraient désormais exclues des investissements d’Investissement Québec.
Écoutez à ce sujet la chronique politique de Louis Lacroix au micro de Patrick Lagacé.
«Il y a quand même certaines balises. Investissement Québec peut désormais appuyer des entreprises qui œuvrent dans le secteur de la défense, à l’exception de ce qu’on appelle les armes controversées. Ça pourrait être, par exemple, des munitions enrichies à l’uranium, des armes de destruction massive ou des choses du genre: on ne pourrait pas investir là-dedans. Par contre, on me dit qu’il existe une variété d’endroits où l’on pourrait intervenir, notamment dans le secteur de l’aéronautique.»
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