Le rapport de la vérificatrice générale de Montréal critique la planification de la réfection des rues, comparant négativement Montréal à Ottawa.
Si les rues sont en mauvais état et les chantiers mal coordonnés dans la métropole québécoise, c’est surtout à cause de l’inefficacité de la Ville, qui n’a pas de vision d’ensemble des besoins et des priorités, a écrit Andrée Cossette dans le rapport annuel du Bureau du vérificateur général, déposé lundi au conseil municipal.
Écoutez le chroniqueur Luc Ferrandez qui commente l’analyse de la vérificatrice générale, à l’émission Lagacé le matin, mardi.
«Pour une fois, je ne suis pas d’accord avec la VG. Je trouve qu’elle aurait dû parler à quelques gars de la voirie. C’est quoi ce réflexe bureaucratique de dire que ça prend un tableau de bord? Ce n’est pas la première à penser ça! 25% de nos artères sont en décrépitude. Il y a une amélioration. Mais, il y a 37% de nos rues locales qui ont l’air du diable…»