Les organisateurs de Fierté Montréal ont été vertement critiqués dans les dernières semaines après avoir tergiversé sur la participation d'organisations juives en marge du conflit israélo-palestinien.
En opposition, un deuxième festival a été lancé et il s'est tenu dimanche au centre-ville.
Assiste-t-on à une rupture dans le mouvement LGBTQ+ ?
Écoutez la députée solidaire de Sainte-Marie–Saint-Jacques, Manon Massé, faire le point avec Patrick Lagacé.
«Il y a un génocide à Gaza actuellement. Ceux qui ne reconnaissent pas ça [...], je trouve que ça n'a pas de maudit bon sens. Il faut être aveugle pour ne pas voir ce qui se passe. L'État israélien, l'armée israélienne, sont délinquants au sens de la loi internationale [...] Maintenant, quand il s'agit de protéger les droits LGBT, que ces personnes-là soient juives, gazaouis, québécoises ou américaines, c'est là où il faut se lever debout.»