À partir du 1ᵉʳ janvier 2026, les aliments ultratransformés devront être étiquetés clairement s'ils contiennent une haute teneur en sel, sucre et gras.
Qu’est-ce que ça va changer concrètement?
Écoutez Isabelle Huot, professeure en nutrition, en discuter avec Marie-Eve Tremblay à Radio textos mardi.
L'experte estime que la réglementation pourrait forcer les entreprises à modifier leurs recettes pour éviter d'afficher ces informations. Des études montrent que des mesures similaires ont déjà eu un impact significatif sur la consommation de produits malsains dans d'autres pays.
«On accuse l'industrie, mais comme consommateur, il faut aller de l'avant et s'habituer à manger moins sucré, moins salé, parce que les papilles s'habituent énormément.»