Donald Trump espère obtenir une entente économique de milliers de milliards avec sa visite en Arabie Saoudite.
Comment peut-on interpréter ce premier voyage à l'étranger du président américain depuis son assermentation le 20 janvier dernier?
Écoutez Thomas Juneau, professeur titulaire à l'École supérieure d’affaires publiques et internationales de l'Université d’Ottawa, spécialiste du Moyen-Orient, en discuter mardi à l'émission La commission.
«Le président Trump est proche des monarchies pétrolières du Golfe, l'Arabie saoudite, les Émirats arabes unis, en particulier le Qatar. Mais les ententes de sa famille à Dubaï, la tour de 80 étages qui va porter le nom de Trump Tower, etc., c'est de la corruption pure. Mais c'est comme si Trump avait normalisé ce degré de corruption-là. Et aujourd'hui, c'est comme si on s'en scandalisait plus. Mais ce n’est pas normal, ça ne devrait pas être acceptable.»