Les jeunes qui gradueront du 5e secondaire le mois prochain sont ceux qui commençaient tout juste leurs études alors que la Covid-19 commençait à se répandre au Québec.
Cinq ans plus tard, quel constat peut-on faire de ce groupe surnommé la cohorte pandémie?
Écoutez Kristel Tardif-Grenier, la professeure titulaire au département de psychoéducation et de psychologie de l'Université du Québec en Outaouais et maman d’une élève de 5e secondaire, aborder le sujet, samedi au micro d'Élisabeth Crête.
«C'est comme si, avec la pandémie, du jour au lendemain, ils avaient été coupés de tous les éléments qui peuvent leur amener cette ouverture sur le monde, ce développement d'identité. Donc, c'est comme si leur développement avait été mis sur pause pendant une période critique où ils devraient justement élargir leur horizon.»