Les commerçants au Québec devront se conformer aux nouvelles dispositions de la loi 96 qui entreront en vigueur dès le 1er juin.
Essentiellement, le français devra prédominer sur leurs enseignes de manière à occuper deux fois plus d’espace que d’autres langues utilisées. Quels défis ces changements impliquent-ils pour les entreprises?
Écoutez Michel Rochette, président du Conseil canadien du commerce de détail, aborder le sujet au micro d'Élisabeth Crête.
«Les entreprises, pour l'ensemble de leurs commerces dans chacune des villes, c'est d'aller chercher l'autorisation de l'Office québécois de langue française, de la ville, et du propriétaire. Le problème, c'est qu'à l'origine, lorsque le gouvernement avait adopté la loi, il avait dit que les entreprises auraient trois ans pour se conformer aux règles. Mais les règles, il les a dévoilés deux ans plus tard.»
Il explique ensuite les défis liés au nom et au logo des entreprises.