Les conflits d’intérêts qui seront déclarés dans le cadre de la commission Gallant sur les problèmes de SAAQClic ne seront pas déclarés au public, ce qui risque d’ajouter de l’huile sur le feu des critiques des oppositions.
C'est ce qu'on apprend dans un article de Radio-Canada.
Le scandale numérique à la Société de l'assurance automobile du Québec a été révélé en février par la Vérificatrice générale du Québec. Il a engendré des dépassements de coûts massifs.
Récemment, l'Autorité des marchés publics a suspendu les contrats informatiques de la SAAQ pour 30 jours. Une commission d'enquête publique est prévue, présidée par le juge Denis Gallant.
Écoutez les propos de Pascal Paradis, député du Parti québécois dans Jean-Talon et porte-parole du troisième groupe d’opposition en matière de justice, à l'émission Lagacé le matin.
«C'est une nouvelle qui s'ajoute à une série d'autres depuis le début de cet exercice. C'est très mal barré. Cet exercice, malheureusement, ne commence pas dans les bonnes conditions. On se demande s'il n'y a pas une entreprise de sabotage qui est en cours tellement les mauvaises nouvelles se succèdent...»