La crise des infrastructures pour l’eau potable, les égouts et le traitement des eaux est l’angle mort de la crise du logement.
En effet, 1,2 million de nouveaux logements sont nécessaires d'ici 2030, mais le manque d'infrastructures d'eau oblige plusieurs villes du Québec à stopper la construction.
La facture pour moderniser ces infrastructures atteint des milliards, mais la question demeure : qui va payer pour résoudre cette crise de l’eau et de l’habitation ?
Écoutez Martin Damphousse, maire de Varennes et président de l'Union des municipalités du Québec, expliquer cet aspect de la crise du logement.
«Il y a dix municipalités qui sortent le drapeau blanc en disant: malheureusement, faut stopper le développement tant qu'on n'a pas réglé l'approvisionnement en eau potable et les eaux usées.»