Selon Radio-Canada, le gouvernement du Québec renoncerait à des garanties pour permettre à la maison mère de Northvolt de survivre, à la demande de la banque d’investissement américaine Goldman Sachs.
Goldman Sachs est le deuxième actionnaire de la maison mère de Northvolt.
Au dire du journaliste Thomas Gerbet, Goldman Sachs obtiendrait des garanties dans les filiales, si jamais la maison mère fait défaut. La seule exception concerne le terrain, d’une valeur de 240 millions de dollars. Ce celui-ci resterait propriété du gouvernement du Québec.
Écoutez le chroniqueur politique Jonathan Trudeau qui discute avec l'animateur Patrick Lagacé des nouvelles demandes de Goldman Sachs quant à Northvolth.
«Ce que ça veut dire, c'est que la valeur de l'investissement dans l'usine au Québec est intéressant pour un joueur comme Goldman Sachs, qui dit: ''Regardez-moi, je fais le tour des créanciers de Northvolth, je fais le tour de ceux qui ont des risques, qui ont des billes dans l'aventure et je regarde les garanties que Québec a par rapport à son projet.»
Précisions que rien n'a été confirmé du côté de la direction de l'entreprise ou encore au gouvernement Legault.
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