Le français et la défense de la langue de Molière sont au coeur de l'oeuvre de Biz.
Écoutez le chroniqueur exprimer son inquiétude sur le sujet au micro de Philippe Cantin.
Comment peut-on expliquer que plus de 50 % des élèves québécois en cinquième secondaire échouent l'épreuve de français du ministère?
Sans oublier qu'ils ont pourtant accès au Bescherelle et au dictionnaire.
«C'est comme si les francophones de langue maternelle voyaient cette langue-là leur échapper carrément. Un problème de base, à mon avis, c'est qu'on ne lit plus en général dans nos sociétés. La lecture, c'est pas terrible au Québec. Il y a pratiquement 40 % d'analphabètes fonctionnels. Et les jeunes, les profs le disent, on ne peut plus leur faire lire des grands romans.»
Il attribue aussi ce phénomène à l'impact des réseaux sociaux et à l'omniprésence de l'anglais dans la culture et les médias.
Biz souligne l'importance de préserver la richesse linguistique du français en Amérique