Richard Blaimert est l'un des auteurs les plus marquants de la télévision francophone au Québec. On lui doit Hubert et Fanny, Le monde de Charlotte, Un monde à part, Cover girl, Les hauts et les bas de Sophie Paquin, Nouvelle adresse et Cerebrum.
Celui qui vit à Los Angeles est de passage au Québec à l'approche de la conclusion de la série Cerebrum, dont la troisième et ultime saison sera diffusée - dès le 4 juillet - dans quelques semaines.
Il est de passage dans les studios du 98.5, au micro de Patrick Lagacé, en compagnie de Catherine Beauchamp.
Que nous réserve cette troisième saison?
«Pour moi, ce qui est intéressant, c'est qu'à chaque année, tu ne veux pas te répéter. Cette fois, je suis allé à l'inverse, c'est-à-dire que dès l'épisode un, on sait qui est le meurtrier. Alors, c'est une construction à l'envers, parce que les deux premières saisons, c'est de jouer avec le spectateur puis de déterminer qui a tué. C'est sûr que là, ça vient chercher d'autres mécanismes d'écriture. C'est un autre défi pour moi, c'est de tenir le coup. Il faut tenir ça pendant dix épisodes. On se donne des petits défis. Pour moi, c'était ça le mandat de l'an 3.»
On l'écoute...