Aller au contenu

One Voice veut secourir deux orques vivantes de Marineland, à Antibes

One Voice veut secourir deux orques vivantes de Marineland, à Antibes
Des orques au parc d'attraction Marineland / Didier Baverel / Contributor / Gettyimages

Le tristement célèbre parc d'attractions Marineland fait encore les manchettes. Le 28 mars dernier, à Antibes, où se trouvent des installations de Marineland, un (autre) orque est décédé en captivité.

Pour l'organisme One Voice, qui participe à des sauvetages d'animaux en captivité, la mort d'Inouk, 26 ans, reflète la piètre qualité de l'eau dans lequel se trouvait le cétacé et de manière plus générale, les conditions épouvantables vécues par ces mammifères marins dans les parcs d'attractions. 

One Voice a annoncé avoir lancé une autre action en justice française pour cruauté animale. 

Le fils d'Inouk, Moana, est décédé en octobre dernier, à l'âge de 12 ans dans les bassins de Marineland à Antibes. 

À titre informatif, un orque peut vivre jusqu'à 100 ans en liberté et jusqu'à 50 ans en captivité.


Écoutez le journaliste et grand passioné de biologie Stéphane Boucher au micro d'Élisabeth Crête sur cette histoire troublante. 

«One Voice a annoncé hier avoir lancé une autre action en justice pour cruauté animale. Il y en a eu plusieurs contre Marineland, c'était toujours One Voice qui était derrière tout ça. Alors c'est une longue bataille de groupes de défense des animaux qui a conduit la France à interdire des spectacles de mammifères marins dans les delphinariums. Mais ça va entrer en vigueur seulement en 2026. C'est obligé. Marineland, par décision de justice, a laissé ces deux dernières orques rejoindre un sanctuaire marin où elles vivraient en semi-captivité. C'est probablement le meilleur sort qui peut leur être réservé que de vivre en captivité en semi-captivité. Parce que lorsqu'on les lâche en liberté, ces animaux-là parfois sont incapables de survivre par leurs propres moyens. Alors la rareté des orques en captivité a créé cependant beaucoup, beaucoup de demandes en Chine et au Japon, qui sont toujours friands de ce genre de spectacle-là.»

Stéphane Boucher

Vous aimerez aussi

Parce que vous voulez tout savoir!

Ne manquez rien de l’actualité, des chroniques ou moments forts de vos animateurs et émissions préférés.

En m’abonnant, j’accepte de recevoir des communications par courriel de Cogeco Média et de ses sociétés affiliées, y compris des nouvelles, des mises à jour, des activités et des concours. Vous pouvez vous désabonner en tout temps en utilisant le lien au bas de nos courriels ou en nous contactant par le biais de notre Politique en matière de protection des renseignements personnels. Veuillez noter, cependant, que nous pouvons continuer à vous envoyer des communications liées au service et d’autres communications non commerciales. Ce site est protégé par reCAPTCHA et la politique de confidentialité de Google et les les conditions d'utilisation s'appliquent.

Dernièrement dans Même le week-end

Longue pause du groupe Alfa Rococo: «On n'avait pas envie de parler de pandémie»
«On recommande de laver les draps 1 à 2 fois par semaine»
«Qui perd gagne: le poids de la série» sur Netflix: «C'est déroutant»
«C'est vraiment spectaculaire toute cette diversité fromagère au Québec»
Fin du doublage québécois des Simpson: «Ça me fait de la peine»
Saint-Jean-de-l’Île-d’Orléans: «Autrefois, c'était un village de pilotes»
«Remettre le pied dans la porte de cette coalition qui soutient l'Ukraine»
Stade olympique: «L'objectif, c'est d'avoir une ou deux équipes sportives»
Entente de principe chez Air Canada: «De la grogne chez les agents de bord»
Santé publique: «On va finir par subir les contrecoups des coupures massives»
«Les gauchers sont entre 3 et 15 % de la population mondiale»
Le CF Montréal triomphe sous les yeux d'Ivan Jaime
Héma-Québec lance un appel aux dons de sang
Mark Carney rencontre Volodymyr Zelensky en Ukraine
Comment s'assurer du bien-être de nos animaux pendant les températures chaudes?