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Échange de Tarasenko

«J’aurais pris Kane s’il avait été en forme» -Antoine Roussel

«J’aurais pris Kane s’il avait été en forme» -Antoine Roussel
Vladimir Tarasenko a compté son premier but pour les Rangers, vendredi soir. / Bruce Bennett / Getty Images

L’ancien joueur de hockey Antoine Roussel estime que la transaction amenant Vladimir Tarasenko à New York est une bonne acquisition pour les Rangers. Mais s’il avait été dans les souliers du directeur général de l’organisation new-yorkaise, il aurait opté pour Patrick Kane… s’il n’avait pas été blessé.

«J’aurais pris Kane s’il avait été en forme. Ça parait qu’il traine quelque chose. Je le trouve un peu moins dynamique, percutant. Ça parait que c’est un gars qui joue malgré une blessure. C’est tout en son honneur. Quand tu fais une saison complète comme ça, ça affecte ton rendement. Il veut finir son contrat au maximum de ses capacités, mais force est d’admettre que c’est difficile»

Antoine Roussel

«Ils ont solidifié leur premier trio avec Zibenajad, et Panarin, poursuit-il. Tu ajoutes un gars qui a gagné une coupe Stanley. Il inspire le calme même si ce n’est pas le gars le plus volubile. »

Antoine Roussel compare cet échange à celle qui a amené Johnny Oduya et Patrick Sharp à Dallas, alors qu’il y évoluait. « Ils avaient gagné des coupes Stanley. Lorsque nous sommes entrés en série, ils n’étaient pas stressés. Ça amène du calme dans l’alignement et tu en as besoin », raconte le chroniqueur du 98.5.

L’arrivée du défenseur Niko Mikkola passe un peu en second plan, mais aura de l’impact dans cette transaction. «C’est un défenseur défensif qui effectue une bonne première passe et qui amène de la profondeur. En séries, quand tu perds un ou deux défenseurs, tu en surtaxes d’autres. Tu as besoin de profondeur », analyse Roussel, comparant Mikkola à « Edmunson en moins bon, mais en santé ».

Selon Roussel, Patrick Kane pourrait tout de même être échangé d’ici la date limite des transactions. «Mais ce n’est plus le temps de prendre des congés. Je l’ai vécu l’an dernier, quand j’étais blessé, c’est comme si j’avais la lèpre. Personne ne voulait me toucher », lance-t-il avec une pointe d’humour.

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