La présidente de la FTQ, Magali Picard, défend son attitude en commission parlementaire face au ministre du Travail, Jean Boulet.
Plus tôt cette semaine lors du débat sur la réforme du régime syndical, elle l'a qualifié de quelqu'un qui «joue à l’innocent» et a accusé le gouvernement Legault de verser dans la dictature.
Des propos qui en ont choqué plusieurs. Malgré les critiques, elle assume ses gestes.
Écoutez la présidente de la FTQ, Magali Picard, faire le point jeudi à Lagacé le matin.
«Ça n'a pas de bon sens ce qui se passe au Québec. Ça n'a aucun sens [...] Et il y a une chose qui est certaine, c'est que je vais toujours me tenir debout et défendre les travailleurs et travailleuses du Québec, puis j'embarque pas dans ce discours-là, qui est qui est une campagne de salissage [contre les syndicats], qui est populiste et qui va nous faire reculer.»