L'obligation imposée par le gouvernement du Québec aux employés de l'État de travailler trois jours en présentiel suscite la grogne des syndicats. Ces derniers dénoncent la congestion et le coût mesuré de se déplacer au travail.
Pour Luc Ferrandez, bien que les syndicats aient raison de soulever ces points, le véritable problème réside dans le manque de politiques claires et le fait que le télétravail pose un enjeu de loyauté et de liens sociaux qui est souvent négligé.
Écoutez le coup de gueule de notre chroniqueur, lundi matin, à l'émission de Patrick Lagacé.