Il y a des disparitions de personnes qui sont davantage médiatisées que d’autres. Mais, il y a aussi des cold case, des cas de porté disparu dont les proches et les familles restent sans nouvelle, sans que personne n’en parle...
C’est le cas de Chantal Picotte, dont on a perdu la trace depuis le 22 novembre 1995. Le groupe de bénévoles Meurtres et Disparitions irrésolues du Québec a décidé de raviver le dossier.
Écoutez Martine Gagnon, soeur de Chantal Picotte disparue depuis 1995, et Manon Dignard, du groupe Meurtres et Disparitions irrésolues du Québec, jeudi, au micro de Lagacé le matin, avec Patrick Lagacé.
«La famille et moi, on aimerait vraiment accorder à ma mère sa dernière volonté qu'elle a toujours souhaité, de la retrouver, de lui donner une sépulture digne de pouvoir, qu'elle soit enterré près d'elle. Donc, je m'adresse vraiment aux gens de Saint-Jérôme qui étaient dans ces époques-là, au mêmes endroits qu'elle... qui savent quelque chose. S'ils peuvent parler, il y a la récompense. Ils vont apaiser les douleurs d'une famille.»