La contraception serait moins accessible à certaines personnes et plus particulièrement aux femmes immigrantes, a découvert une équipe de recherche de l’UQAM qui s’est récemment penchée sur la question.
Écoutez Audrey Gonin, professeure à l’École de travail social de l’UQAM et coautrice de la recherche sur l’accès à la contraception chez les femmes immigrantes au Québec, en discuter samedi, au micro de Jeffrey Subranni.
«Dans notre étude en particulier, c'est la lisibilité directe du parcours de soins qui peut poser problème. Les femmes pouvaient nous dire que c'est assez nébuleux pour elles comment naviguer le système de santé. Ça, c'est un des aspects qui jouent dans les problèmes d'accès à la contraception.»