Le nouveau modèle d'affaires de la Société des alcools du Québec (SAQ) suscite de l'inquiétude. Des représentations d'une association en santé publique, des intervenants en dépendance et des élus ont fait part de leurs inquiétudes dans une lettre ouverte, leurs inquiétudes.
Selon eux, l'arrivée des mini-agences dans les épiceries et dépanneurs et les heures d'ouverture élargies pourraient être une menace à la santé publique.
Ils réclament un débat public sur la réforme du modèle d'affaires de la société d'État.
Écoutez la réaction de Jacques Farcy, président et chef de la direction de la SAQ, au micro de Patrick Lagacé.
«Nos parties prenantes sont en contact permanent avec la SAQ. C'est un débat public, c'est un débat dans lequel [on permet] à plusieurs personnes de nous influencer, de partager certains points de vue. Évidemment, à la fin de la journée, c'est à la SAQ de gérer la SAQ [...], mais on ne le fait pas seul, on ne le fait pas sans rien écouter du monde qui nous entoure. C'est parce qu'on écoute le monde qui nous entoure qu'on va évoluer.»