Selon des spécialistes, il est probable que l'auteur de la fusillade survenue lundi soir à New York ait souffert d'encéphalopathie traumatique chronique, une maladie qui affecte le contrôle de soi.
Cette hypothèse est étayée par une note retrouvée sur lui, mais seul un examen post-mortem pourra confirmer ce diagnostic.
Cette maladie neurodégénérative progressive est connue pour affecter gravement le contrôle de soi, la cognition et l'humeur, entre autres.
Écoutez William Archambault, chercheur et chargé d’enseignement à l’école de sciences infirmières Ingram de l’Université McGill, à l’émission Le matin, animée par Jean-Sébastien Hammal.