Les diagnostics de TDAH chez les jeunes varient grandement d'une région à l'autre au Québec, avec des taux allant de 2,2% à Montréal à 7% au Bas-Saint-Laurent.
Comment expliquer ces écarts significatifs?
Écoutez le Dr Joël Monzée, docteur en neurosciences, analyser la situation, mardi, avec Jean-Sébastien Hammal.
«Dans certaines régions, on a des services qui peuvent être offerts où il y a une manière de percevoir l'enfant, que c'est normal qu'il soit turbulent. Dans d'autres régions, on voudrait que l'enfant soit beaucoup plus calme. À ce moment-là, ça peut avoir une incidence sur le processus de diagnostic, malgré la bonne volonté du médecin ou du psychologue qui a fait l'intervention.»