En cette période où les Canadiens boudent les États-Unis, plusieurs d'entre eux se tournent vers l’Europe pour profiter de leurs vacances d'été.
Sachant que la valeur du dollar canadien est à son plus bas face à l’euro depuis 2018, est-ce vraiment une alternative avantageuse?
Écoutez le professeur au département de marketing de l’ESG UQAM et expert en tourisme, Paul Arseneault, qui traite de la question à l'émission de Jean-Sébastien Hammal, mercredi.
Il souligne que les gens ajustent souvent leurs dépenses sur place plutôt que de renoncer à voyager.
Il ajoute que le coûts associés aux billets d'avion et à l'hébergement sont généralement prévisibles et intégrés dans le budget des vacanciers.