Le télétravail est encore de mise pour plusieurs Québécois depuis la pandémie. Or, celles et ceux qui sont concernés devront probablement changer leurs habitudes...
Dès septembre, un nombre de plus en plus important d’entreprises demanderont à leurs employés de venir au bureau quatre jours par semaine, voire cinq.
Par exemple, les grandes banques ont exigé que les travailleurs soient présents physiquement au bureau quatre fois par semaine.
Les patrons sont visiblement réticents à savoir que leurs employés travaillent régulièrement à l’extérieur de l’espace physique de l'entreprise.
Écoutez Nicolas Duvernois, fondateur et président-directeur général de Duvernois Esprits créatifs, qui parle du télétravail et de ses impacts avec l’animateur Jean-Sébastien Hammal.
«Le télétravail a ses pour et contre... "It’s complicated"! C’est une question de confiance, certainement, mais c’est aussi une affaire de cohésion d’équipe et de culture d’entreprise. [...] Le télétravail est souvent vu comme un gain personnel tandis que le travail au bureau est un gain collectif...»
M. Duvernois parle également de l’iniquité sur le marché du travail et de la sur-connexion entre les sphères privée et professionnelle en mode télétravail.