Pablo Rodriguez a été élu à la tête du Parti libéral du Québec en fin de semaine.
Est-ce qu'il émerge comme un acteur influent sur la scène politique provinciale, affectant les autres partis?
Écoutez Philippe J. Fournier, rédacteur en chef de Qc125 et chroniqueur pour l’Actualité, en parler avec Nathalie Normandeau et Luc Ferrandez.
Un nouveau sondage montre bien une remontée du PLQ, mais ce n'est pas ce qui retient l'attention de Philippe J. Fournier.
«Je dirais, en fait, que l'histoire de ce sondage, il y a une petite montée pour le Parti libéral. Cinq points chez les francophones, ce n'est pas rien, considérant que le PLQ a désespérément besoin de plus d'appuis des francophones», dit-il.
«Mais pour moi, c'est vraiment la chute de la CAQ qui ressort de ce sondage avec seulement 15 % au niveau national. Et si vous remarquez sur les réseaux sociaux et dans les nouvelles, il n'y a que des criquets présentement de la CAQ, parce qu'ils savent que leurs chiffres internes disent la même chose. Et donc, 15 % au niveau national pour la CAQ, ne produirait probablement aucun siège dans une élection. Le parti serait rayé de la carte complètement.»