La gestion de l'offre a façonné notre secteur agricole, mais depuis quelques années, plusieurs voix s'élèvent pour contester l'efficacité de ce modèle.
C'est le cas notamment de Sylvain Charlebois, directeur principal du Laboratoire de sciences analytiques en agroalimentaire de l’Université Dalhousie, qui a publié le 12 juin une chronique dans La Presse intitulée: «Une vache sacrée coûte cher à traire».
Écoutez Sylvain Charlebois en discuter, à La commission mardi.
«Le problème qu'on a au Canada, au Québec, c'est qu'il y a deux camps. Il y a ceux qui disent qu'on devrait abolir complètement le système et il y a un autre camp, bien sûr, qui prône pour le statu quo.»