Biz est de retour pour sa chronique, lundi, mais il est encore à l'extérieur du studio.
La raison? Il est présentement dans une communauté atikamekw au nord du réservoir Gouin. Il doit son accès privilégié grâce à un ami dont la partenaire est infirmière là-bas.
Biz souligne l'autarcie énergétique du village, la présence marquée de chiens errants et l'usage exclusif de l'atikamekw par les enfants, contrairement aux adultes qui parlent aussi français.
Il aborde le dilemme des jeunes entre rester pour préserver leur culture ou partir pour des opportunités d'éducation et d'emploi, reflétant un défi plus large pour les Premières Nations dans la modernité.