Chaque hiver, on observe une augmentation du nombre de journées de smog qui sont attribuables à la combustion des poêles à bois.
Cette pollution a des conséquences directes sur la santé publique, particulièrement pour les personnes souffrant de maladies respiratoires, les enfants et les aînés.
L’Association des professionnels du chauffage d’appoint (APC) plaide en faveur d’un encadrement rigoureux et uniforme dans toute la Communauté métropolitaine de Montréal.
Écoutez Louis-Pierre Côté, porte-parole de l’Association des professionnels du chauffage d’appoint, discuter de l'efficacité accrue des nouveaux modèles conformes, à La commission vendredi.
«On peut voir que les nouveaux appareils ont évolué. [...] Ils sont plus performants au niveau de leur efficacité de combustion, donc vont utiliser une meilleure quantité d'énergie de la combustion pour la redonner, à ce moment-là, à la pièce. Et on va passer des niveaux d'efficacité qui étaient aux alentours de 60 % à maintenant 75%, allant jusqu'à 80 % de l'efficacité. Donc ça veut dire qu'on utilise aussi beaucoup moins de bois avec les nouveaux appareils.»