Deux constats étaient unanimes au terme du débat en français des quatre prétendants du Parti libéral du Canada: les candidats étaient pas mal sur la même longueur d'onde au plan politique et la qualité du français a été malmenée.
Écoutez Dimitri Soudas et Philippe Cantin discuter de ce débat.
«Si Samuel de Champlain avait entendu ce débat, il aurait fait demi-tour et fondé Boston à la place», lance Dimitri Soudas, d'entrée de jeu.
«Ils étaient tellement mal à l'aise. J'ai tout regardé, deux heures pénibles. Le français en détresse. J'ai tout regardé. Ils étaient tellement mal à l'aise qu'ils espéraient que leurs adversaires prennent tout le temps de parole. Et parmi les quatre candidats, Mark Carney avait le pire français, clairement.»
Les autres sujets discutés
- On critique les propositions économiques de Mark Carney
- L'inexpérience de Carney était palpable durant le débat
- Le français est-il une exigence incontournable ou pas pour un premier ministre?